Ce mardi 19 novembre, un an jour pour jour après l'annonce du plan "Bienvenue en France", l'Union des Etudiants Communistes était à l'initiative d'un rassemblement, place du Panthéon, avec une dizaine d'organisations étudiantes, notamment d'associations d'étudiants étrangers (Collectif étudiants étrangers, Association des étudiants Burkinabè en France, Union générale des étudiants Palestiniens en France, Union des étudiants Kurdes de France, Union des étudiants Vietnamiens en France, Union des étudiants Algériens de France...).
Le 19 novembre 2018, Edouard Philippe annonçait une hausse des frais d'inscription pour les étudiant.e.s extra-communautaires (2770 € pour la licence et 3770 € pour un master ou en doctorat). Selon des critères racistes assumés, le gouvernement s'attaquait aux étudiants étrangers qui proviennent pour 46% d'entre eux de pays africains et subissent de nombreuses discriminations en France. Cette mesure élitiste s'inscrit dans une démarche plus large de fermeture de l'Université.
A rebours de ce que propose le gouvernement, les étudiant.e.s se mobilisaient pour :
Lors du rassemblement, le sénateur Pierre Ouzoulias, et le conseiller de Paris Jean-Noël Aqua ont pu prendre la parole prendre la parole pour réaffirmer l'engagement des parlementaires et élu.e.s du Parti communiste français aux côtés des étudiants. Pascal Torre représentait le secteur International du PCF.
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